Extrait
Il est des jours l’on ne sait pas les mains
Que frôle le vent
Hymne à la douleur Mélodie aérée de joie
On ne sait pas
L’eau clapote d’une tendresse d’espérance
Elle vient mourir sur les graviers
Cet hiver j’ignore si la nature se repose
Ou si elle tremble de froid
Les courants nagent vers les sources claires
Afin d’y découvrir la mer
Ou de leurs rames brassent les grands fonds
À la recherche des noyés
Avis
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